Monsieur et Madame Fordsound ont un fils.

Chapitre premier (poils aux pieds)

Monsieur et Madame Fordsound ont un fils que nous avons visité, comment s’appelle-t-il ?

Comme vous les esprits les plus affutés d’entre vous l’ont surement deviné, nous avons visité l’Emile Fordsound.

C’est après avoir fini notre randonnée de 3 jours que nous nous sommes dirigés vers cette route probablement jolie sans la brume.

Après un rapide coup d’œil à la météo nous confirmant le temps pourri en prévision, nous devons changer nos plans initiaux.

A l’origine nous voulions faire pleins de rando dans cet endroit isolé mais choli. Pas l’idéal cependant de marcher 3 heures sous la pluie pour se rendre compte que la brume en haut de la montagne ressemble beaucoup à celle d’en bas.

Nous avons donc décidé de payer un tour de promène couillon dans les Milford sounds, qui nous permettra de regarder les cascades sous la pluie sans être mouillés, ce qui est fort convéniant avouons-le.

Nous avons aussi eu la bonne surprise de rouler sous la neige en décembre. Bon pour vous ça semble normal de rouler sous la neige en décembre, mais pour nous c’est l’été. Comme quoi le réchauffement climatique il a bon dos.

Nous vous prions de bien vouloir trouver ci-joint ci-dessous quelques photos illustratives de notre exposé ci-dessus.

C'est très brumeux la brume

Au début on trouve que la neige sur la montagne c'est joli

Quand la neige est sur la route c'est toujours joli mais un p'tit peu plus dangeureux

Arrivé au milford sound

avec pleins de cascades

Ca c'est moi. Je suis pas une cascade, je suis un vrai p"tit garçon!

Clélia à l'abri des gouttes de pluie et de la foule

Clélia en train de perdre foi en la nature humaine.

Une photo de gens qui prennent des photos

Peut être que quelqu'un nous a pris en photo pendant qu'on prenait cette photo puis s'est moqué de nous sur son blog...

Le vent était fort, ça emportait un peu la cascade n'importe ou.

Une grosse cascade

Chapitre second (Poils aux tétons)

Guy Moquet avait pour habitude de chanter : « Mes chers parents je pars, je vous aime et je pars, vous n’aurez plus d’enfant ce soir. ».

Si les paroles sont saisissantes de par leur justesse, je ne peux m’empêcher de trouver qu’il faisait quand même un peu son intéressant. (Je dis « Je » parce que Clélia se désolidarise complètement de cette blague.)

Pour continuer sur le sujet, nous allons continuer le récit. (ici je dis « Nous » puisque je ne sais pas si je dois écrire « Je vait continuer » ou « Je vaie continuer ». Donc je dis « Nous ».)

Après avoir trouvé qu’il avait drôlement plu durant ces derniers jours, nous avons été témoins de grosses inondations dans la région de Wanaka, vers laquelle nous sommes revenus après les Milford Sounds. Il avait donc effectivement beaucoup plu.

Pas pratique d'aller manger dans ce restaurant

Un peu humide cette piste cyclable

Des sacs de sable pour empêcher l'eau de monter plus haut. Probablement en lui faisant croire qu'elle est arrivée à la plage et que ça ne sert plus à rien de continuer plus loin...

Les routes pour remonter vers le nord via la côte ouest étant fermées du fait de la catastrophe naturelle (comme quoi, certains ne jurent que par la nature, mais il ne faut pas oublier que la nature n’est pas toujours tendre avec nous. C’est d’ailleurs elle qui a commencé en plus alors bon.)

Après avoir jeté du plastique et des piles dans le lac qui débordait pour lui montrer à la nature c’est qui qui décide, nous avons décidé de rejoindre une très gentille famille d’Américains installés en Nouvelle-Zélande, chez qui nous allons passer une semaine.

La semaine était vraiment supidoupiyop (J’ai inventé ce mot), et nous nous sommes vraiment très bien entendu avec nos hôtes.

Grâce à eux nous avons pu faire du kayak sur le lac Hawea, du voilier sur le lac Wanaka, des ballades dans la montagne vers une petite hutte mignonne, et sûrement d’autres trucs que j’oublie. 

Ah et on doit faire la vidange de notre van aussi. Je mets ça là pour qu’on s’en rappelle de prendre rendez-vous en se relisant. Si on oublie, vous serez gentils de nous y faire penser, c’est important.

1) Ballade au Mont Iron

Est-ce un avion? un oiseau? Superman? Ah non c'est un deltaplane...

Est-ce un avion? un deltaplane? Superman? Ba non ça se voit bien que c'est un lapin voyons!

Si certains se demandent l'effet qu'ont eu ces quelques mois de randonnées sur nos mollets, voilà une réponse en image

Pom podom pompom podododom pom 

2) Après midi au bord du lac Hawea

2 Clélia 

2 demis Martin

Les mains en l'air!

Clélia qui essaye de faire l'égyptien de profil, mais on dirait plus qu'elle insulte les mouettes... Ou qu'elle chante l'internationale.

Coucou toi...

3) Ballade sur la Breast Hill track

C'est parti pour une marche de 22km

Mollets musclés, le retour

Première étape: Monter 400m au milieu des grandes herbes

Un p"tit mouton perdu

Après avoir monté 400m, il faut encore grimper 550m sur les crêtes

C'était très joli mais pas très large par endroit

Il fallait faire un peu d'escalade aussi

Ca vaut le coup quand même, les paysages à l'arrivée n'étaient pas trop dégueu

On peut voir le sentier dessiné sur la crête.

Ça monte dur...

Ça monte toujours dur...

L'arrivée est en haut de cette dernière petite montée

Youpi, voilà la hutte!

Et maintenant il faut redescendre...

C'est plus facile de descendre que de monter 

Mais il faut prendre son temps car le chemin est quand meum escarpé par endroits...

Et il faut faire attention au trou dans la couche d'ozone qui fait rien de que nous embêter

Descente au milieu des fougères

Et voilà, de retour au parking après 4h30 de marche!

3) Petite sortie en bateau sur le lac Wanaka

Le cadre était sympa

Le bateau, un Beneteau de 40 pieds aussi 

Chapitre dernier (Poils aux doigts d’pieds)

Après cette semaine sympathique, il est l’heure pour nous de partir de cette maison chaleureuse et accueillante pour nous diriger vers d’autres cieux.

Voilà les plans pour les jours à venir (ça peut encore changer du jour au lendemain) :

-          Remonter le long de la côte ouest jusqu’à Franz Joseph Glacier (là où la route est toujours fermée, et pour longtemps mon p’tit n’veu)

-          Profiter des éclaircies pour faire des randonnées de 2 jours (Brewster hut et Copland Track au moins)

-          Redescendre vers Wanaka pour remonter au nord. Parceque vu que la route de la côte ouest est fermée il faut traverser le pays et passer par la côte Est pour remonter au Nord. Parcequ’il n’y à que 2 routes en Nouvelle-Zélande. Du coup ça fait des mégas déviations. Je me demande s’ils mettent des panneaux tout le long…

-          Si le temps est clément lors de notre descente vers Wanaka, faire une balade de 4 jours dans les montagnes de Glenorchy (Routeburn track et Caples track) qui peut s’avérer très sympathique et qui nous fait envie depuis une grosse semaine mais la météo ne semble pas être de notre côté pour le moment…